Page 34 - مجلة الدراسات القضائية
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no 06-18.714, RJDA 2008, no 230, p. 234 ;
Cass. 3e civ., 27 janvier 2004, no 02-16.390 ;
Cass.com., 3 avril 2002, no 98-21.813 ; Cass.
com., 22 janvier 2002, no 99-10.943 ; Cass.
2e civ., 14 juin 2001, no 99-19.283 ; Cass.
com., 29 février 2000, no 98-12.176 ; Cass.
com., 15 juillet 1999, no 97-15.441 ; Cass.
com., 17 novembre 1998, no 96-15.138, Bull.
civ. IV, no 271.
1- Cass. 1re civ., 6 janvier 2004, no 00-20.044.
2- Cass. 3e civ., 13 novembre 2003, no 01-
12.646, RTD civ. 2004, p. 507, obs. Mestre
(J.) et Fages (B.).
3- Cass. 3e civ., 29 juin 1983, no 82-12.085,
Bull. civ. III, no 153 ; Cass. com., 1er mars
1983, no 82-10.843, Gaz. Pal. 1983, 2, jur.,
p. 533, note Bey (E.-M). ; Cass. 2e civ.,
10 juillet1978, no 82-10.843, JCP G 1980, II,
no 19355, note Bey (E.-M.).
4- Cass. 3e civ., 19 février 2003, no 01-16.991,
Bull. civ. III, no 44 : « Si le juge des référés
peut accorder une provision sur le montant
non contestable d’une clause pénale, il
n’entre pas dans ses pouvoirs de diminuer
ce montant à proportion de l’intérêt
que l’exécution partielle de l’obligation a
procuré au créancier ».